Témoignage du CARQUEFOU BADMINTON CLUB
Juin 2022
Merci à NICOLAS LE CORRE, président du CBC, Carquefou Badminton Club.
Quel est votre rôle au sein de votre structure ? Et quelles sont vos missions ?
Je suis président de l’association CBC Carquefou Badminton Club depuis 5 ans, c’est ma 5ème saison.
La principale mission d’un président, c’est de s’assurer que le club fonctionne correctement en accord avec toutes les réglementations de la fédération, de la mairie… donc garantir que l’on soit conforme à tout ce que peuvent nous demander nos autorités tutelles.
Dans la mesure où nous avons un salarié, il faut qu’on fasse attention à être conforme à la réglementation, que l’on respecte les droits du travail. Quelque part, c’est s’assurer que la base juridique dans laquelle l’association évolue soit respectée. La responsabilité du président c’est celle-là.
Il faut, également, être sûre que les adhérents puissent faire leur sport dans les meilleures conditions, qu’on soit à leur écoute et leur demande, qu’on puisse proposer des manifestations et encourager un maximum de bénévoles à s’impliquer dans l’association.
Pour quelle(s) raison(s) vous êtes-vous tournés vers le DLA (Dispositif Local d’Accompagnement) ? Quelle problématique rencontrait le club ?
La question qu’on s’est posé c’est : comment cadrer le projet du club dans la mesure où nous sommes tous des bénévoles et donc constituer un projet club où l’on ait un maximum d’informations ?
Pour y répondre, on a besoin de professionnels dont c’est le métier. En tant que bénévole, on a tous notre prisme, et on ne voit qu’une partie de ce qui se passe dans l’association. Il est important qu’à un moment, on soit sûre de ne rien rater concernant le fonctionnement du club et de constituer un projet club auxquels les adhérents puissent s’identifier sur du long terme.
Avoir un accompagnement avec des professionnels est indispensable pour s’ouvrir à des nouvelles pistes. Il y a toujours des choses à faire. C’est primordial pour un club qui veut s’organiser, qui veut se structurer.
Comment avez-vous connu ACE2 ?
C’est le bouche à oreille. Vous aviez fait une intervention pour une autre association au niveau de la ligue et c’est comme ça que l’on vous a connu.
Pourquoi avoir choisi ACE2 ?
C’est simplement parce que vous avez bien fait votre travail au niveau de la ligue. Notre choix s’est alors porté là-dessus. La prestation avait été appréciée, donc on a voulu capitaliser sur votre connaissance de notre sport.
Qu’est-ce qu’ACE2 vous a apporté pendant et à l’issu de cet accompagnement ?
Ce sont des pistes de réflexion, des réponses à nos questions, puis un projet finalisé, et une aide en termes de communication.
Cela vous a-t-il généré de nouveaux besoins ou ouvert à d’autres perspectives ?
Oui bien sûr, cela a généré de nouvelles perspectives. Ce sont des choses auxquelles nous n’avions pas pensé. Le fait de faire appel à vous, qui avez une vision du monde associatif, de tout ce qui est possible, ça permet d’ouvrir des portes qu’on ne voyait même pas. Par exemple, il y a des choses que nous ne connaissions pas, dont la stratégie pour demander des subventions, des façons différentes d’interagir avec nos adhérents. On agit parfois par habitude mais il y a d’autres moyens de communiquer.